Sakay livre un témoignage sensible et poétique sur la disparition soudaine de son frère.
Un propos intime gagne peu à peu une résonance universelle dans un court-métrage qui évoque l’importance des liens affectifs dans un univers désenchanté et indifférent, contre lequel se dresse, imperturbable et fort, l’amour fraternel. Mainfilm accorde son prix de la Relève à Sakay Ottawa pour Aci ni micta cikateriten.
Bouteille lancée à la mer pour un frère disparu, message d’espoir sereinement formulé face à des vents contraires, main tendue au-dessus des abîmes de l’oubli, le court-métrage Aci ni micta cikateriten reçoit le prix Coup de cœur Télé-Québec 2012.